La pollution sonore, la dégradation des habitats, les collisions et les prises accidentelles sont autant de menaces mettant en péril les populations de cétacés. Pourtant, près de la moitié des espèces ont été classées dans la catégorie “Données insuffisantes” de la liste rouge de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature), en raison du manque de connaissances et de données disponibles. En effet, les cétacés sont répartis dans toutes les eaux du globe. Or, recueillir des données en pleine mer est difficile et coûteux. L’implication des citoyens peut aider à pallier ce manque de données en complétant la couverture spatiale et temporelle en mer.
Programme exécuté avec des instituts d’observation des cétacés et des laboratoires de recherches en cours de partenariat.